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Changements climatiques: gérer l’inévitable et éviter l’ingérable

Le Soleil – octobre 18, 2023

Face à des événements climatiques sans précédent, de la tempête de verglas à Montréal aux inondations en Estrie, l’urgence d’agir est criante. Joanna Eyquem et d’autres experts insistent sur la nécessité d’une action concrète pour s’adapter tout en réduisant nos émissions. Nos décisions d’aujourd’hui sculptent l’avenir de notre planète.

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La Presse Canadienne, septembre 19: Climat et intempéries extrêmes : comment s’adapter aux impacts dès maintenant ?

Cet été a été marqué par des catastrophes météorologiques : incendies, canicules record, pluies torrentielles, et inondations urbaines. Les changements climatiques sont déjà là, et les experts, dont Joanna Eyquem, soulignent l’importance cruciale de l’adaptation. Les assureurs, tels qu’Intact Assurance, jouent un rôle essentiel dans cette transformation.

Man pours water over his head in street during heat wave

La Presse Canadienne, avril 19: La chaleur accablante devrait être envisagée comme une « catastrophe naturelle »

Un nouveau rapport, rédigé par des experts du Centre Intact d’adaptation au climat de l’Université de Waterloo, conclut que « les sonnettes d’alarme canadiennes devraient résonner » au sujet des risques liés à la chaleur intense.

« La chaleur extrême est comme une espèce de catastrophe imminente, a déclaré l’auteure principale, Joanna Eyquem, directrice générale des infrastructures résilientes au climat au Centre Intact.

Globe Newswire, avril 20: Le code rouge ultime : Préparer le Canada à la chaleur extrême

Un nouveau rapport prévient que la chaleur extrême est sur le point de causer des souffrances dévastatrices liées au climat au Canada qui, si elles ne sont pas maîtrisées, dépasseront les 595 décès liés à la chaleur signalés par le coroner de la Colombie-Britannique en 2021 et les 86 vies perdues au Québec en 2018

Portail de l’assurance, avril 21, Un guide pour mitiger les risques liés à la canicule

La canicule sévère qui a frappé la Colombie-Britannique à l’été 2021 a causé 595 décès en à peine une semaine. En 2018 au Québec, on a rapporté 86 décès en raison de la chaleur extrême. Le Centre Intact d’adaptation au climat (CIAC) produit un guide pour lutter contre ce fléau associé aux changements climatiques.

Le CIAC a déjà produit deux guides similaires pour aider les Canadiens à se préparer à mitiger les dommages causés par les inondations et les feux de forêt. Ce guide sur la chaleur extrême comporte de nombreuses mesures concrètes de réduction des risques liés à la canicule.

Portail de l’Assurance, février 18: Des mesures sont requises pour protéger les zones côtières

Le 9 décembre dernier, le Centre Intact d’adaptation au climat (CIAC) de l’Université de Waterloo rendait public le guide « Mers montantes et sables mouvants » où l’on proposait des lignes directrices visant à protéger les berges dans les collectivités côtières de l’est et de l’ouest du Canada. Le guide ne traite pas des problèmes particuliers de la protection des côtes dans le nord du pays, dont les enjeux sont très différents.

« Nous ne pouvons plus gérer les risques côtiers en nous battant continuellement contre les phénomènes naturels », explique l’autrice du guide et professeure de géographie, Joanna Eyquem, qui est directrice générale, infrastructures résilientes au climat, au CIAC.

Mme Eyquem est l’une des expertes invitées à la session portant sur les changements climatiques qui aura lieu en après-midi, le 30 mars 2022, dans le cadre de la Journée de l’assurance de dommages.”

Le Devoir, février 16: Prix des maisons: baisse moyenne de 8,2 % après des inondations dans une communauté 

Le prix des maisons baisse d’environ 8,2 % dans les communautés touchées par des inondations dans les mois qui suivent ces catastrophes, selon une nouvelle étude qui note également une baisse importante des maisons mises en vente dans ces villes.

L’étude «Nager sur place», du Centre Intact d’adaptation au climat (CIAC), affilié à l’Université de Waterloo, s’est penchée sur l’impact des inondations sur le marché de l’habitation.

«C’est la première fois qu’on utilise des données réelles pour illustrer les impacts des inondations sur le marché immobilier. Ce n’est pas des scénarios, ce sont de vrais résultats», a expliqué Joanna Eyquem, directrice des programmes d’adaptation aux changements climatiques du CIAC.

Radio Canada, février 15: Les maisons se vendent 8 % moins cher à la suite d’inondations catastrophiques

L’impact d’inondations catastrophiques sur la valeur des propriétés demeurait jusqu’ici difficile à évaluer. Des chercheurs du Centre Intact d’adaptation au climat de l’Université de Waterloo ont découvert qu’elles entraînent en moyenne une baisse de 8,2 % du prix des maisons au Canada dans les mois suivants, malgré une réduction de moitié de l’offre au même moment.

Comme l’illustre l’étude intitulée Nager sur place, une maison au prix moyen de 713 500 $ à la fin de 2021 et se trouvant dans un quartier ayant été touché par une inondation se serait ainsi vendue près de 60 000 $ de moins.

Les transactions immobilières de cinq villes canadiennes ayant subi des inondations catastrophiques dans les dernières années ont été étudiées. Burlington en Ontario (2014), Gatineau (2017), Ottawa (2017 et 2019), Toronto (2019) et Grand Forks en Colombie-Britannique (2018) ont toutes subi des dommages ayant conduit à plus de 25 millions de dollars en demandes d’indemnisation.

Radio-Canada, février 15: Chute du prix de vente des maisons de plus de 8 % après des inondations

Les inondations majeures ont des impacts réels sur le marché immobilier, notamment en faisant baisser le prix de vente des maisons et en rallongeant le temps qu’elles passeront sur le marché, selon un nouveau rapport(Nouvelle fenêtre) publié par le Centre Intact d’adaptation au climat de la Faculté de l’environnement de l’Université de Waterloo.

L’étude s’est intéressée à cinq villes canadiennes où sont survenues six inondations catastrophiques entre 2009 et 2020 : Grand Forks en Colombie-Britannique, Burlington, Toronto et Ottawa en Ontario et Gatineau au Québec.

Les répercussions des inondations ont été mesurées sur des périodes de six mois avant et après les événements. Pour établir que les répercussions étaient effectivement associées aux inondations, la situation des collectivités touchées a été comparée à celle de collectivités avoisinantes témoins (non touchées par des inondations) durant les mêmes périodes, indique le rapport.

TVA Gatineau, février 15: Chute du prix des maisons dans les zones inondées 

Gatineau est l’endroit au pays où le prix des maisons a été le plus durement affecté par les inondations. C’est ce que révèle une nouvelle étude de l’Université de Waterloo. Un écart de valeur de 17% s’est creusé entre les propriétés gatinoises en zone inondée et non inondée, dans les mois suivant le sinistre en 2017.

Gatineau a vu le prix de vente ferme de ses propriétés en zone inondée chuter de 17,1%, comparativement aux maisons en zone  non inondable.

La moyenne dans les collectivités inondées au pays se chiffre à 8,2%, selon l’étude réalisée par le Centre Intact d’adaptation au climat de l’Université de Waterloo.

Noovo Info, février 15: Gatineau: Les Inondations Font Fondre Le Prix Des Maisons 

Le rapport de l’étude de l’Université de Waterloo indique notamment que « l’adoption d’une approche pancanadienne pour la stratégie nationale d’adaptation sera essentielle pour promouvoir la protection des maisons contre les inondations.»

Le document met aussi en lumière que «selon le GIEC (2021), il n’y aura pas de “nouvelle normalité” en ce qui concerne les changements climatiques; on verra plutôt des phénomènes météorologiques de plus en plus extrêmes. En s’axant sur la protection contre les inondations, la stratégie nationale d’adaptation pourrait contribuer à protéger ce qui est pour beaucoup de Canadiens leur principal investissement financier : leur maison. »

TVA Gatineau, février 15: Chute du prix des maisons dans les zones inondées 

Une étude du Centre Intact d’adaptation au climat (CIAC) de l’Université de Waterloo souligne l’impact des inondations catastrophiques sur le prix de vente des maisons. Les maisons restent plus longtemps sur le marché et se vendent moins cher dans les communautés touchées par ce type de sinistre naturel.

L’étude a été rendue publique le mardi 15 février. Au cours des huit dernières années, les collectivités étudiées ont vu le prix de vente baisser en moyenne de 8,2 %, le marché de la revente a chuté de 44,3 % et les maisons passent 19,8 % plus de temps sur le marché.

L’étude du CIAC couvre cinq villes canadiennes qui ont subi des inondations catastrophiques entre 2009 et 2020 : Grand Forks (Colombie-Britannique) en 2018, Burlington (Ontario, 2014), Toronto (2019) et Ottawa (2017 et 2019) et Gatineau, au Québec (2017).

La Presse, février 14:  Chute du prix des maisons en zone inondable

Si l’on connaît déjà les effets négatifs des inondations sur les primes d’assurance habitation, qui ont notamment augmenté de 20 à 25 % au Canada entre 2015 et 2019, les chercheurs affirment qu’il s’agit du premier rapport qui quantifie les impacts réels des inondations sur le marché immobilier résidentiel canadien.

« Bien que l’analyse des données pour ce rapport n’ait pas été difficile, l’obtention de données a été problématique et longue », explique Joanna Eyquem, directrice générale, infrastructures résilientes au climat, au Centre Intact d’adaptation au climat de l’Université de Waterloo.

« Nous ne pouvions pas obtenir de données directement par l’intermédiaire de l’Association canadienne de l’immeuble (ACI), poursuit-elle. Nous avons dû établir des relations avec des courtiers immobiliers individuels à travers le Canada, dans les communautés touchées par les inondations, puis dépendre de ces agents pour sécuriser les données de leurs chambres immobilières locales. »

Ice Berg

L’actualité, 23 janvier 2022: Un scientifique canadien étudie la fonte du glacier «Thwaites» en Antarctique

Une étude menée par Ian Joughin, un glaciologue de l’Université de Washington, a suggéré que le glacier Thwaites ne perdrait de la glace qu’à un rythme qui créerait une élévation du niveau de la mer d’un millimètre par an – et pas avant le siècle prochain. À ce rythme, il faudrait 100 ans pour que le niveau de la mer monte de 10 centimètres.

Cependant, Joanna Eyquem, une géoscientifique basée à Montréal qui étudie les moyens de préparer les infrastructures à l’élévation du niveau de la mer, a indiqué dans un courriel que la recherche sur les glaciers montre que les prévisions du niveau de la mer «évoluent constamment» et que les efforts d’adaptation doivent être plus rapides.

«La question est : à quel point la situation doit-elle être désespérée avant que nous agissions?» a demandé Mme Eyquem.